Je viens de terminer le livre "succubus blues" de Michelle MEAD. Je dois dire
que j'ai beaucoup aimé.
C'est le premier volet de la série. Je ne sais pas combien de livre compose
cette série.
Alors l'histoire (j'aurai bien fait le résumé moi-même, mais pourquoi se compliquer
la vie. Tout est écrit derrière le livre ) :
Georgina Kincaid est succube à Seattle. A priori un choix de carrière plutôt
sympa : la jeunesse éternelle, l'apparence de son choix, une garde-robe
top niveau et des hommes prêts à tout pour un simple effleurement.
Pourtant, sa vie n'est pas si glamour : pas moyen de décrocher un rancard
potable sans mettre en péril l'âme de l'heureux élu. Heureusement, elle est
libraire, et son travail la passionne !
Livres à l'oeil, moka blanc à volonté...et la possibilité d'approcher le beau
Seth Mortensen, un écrivain irrésistible qu'elle rêve - mais s'interdit- de
mettre dans son lit.
Mais les fantasmes devront attendre. Quelqu'un s'est mis en tête de jouer
les justiciers dans la communauté des anges et démons. Bien malgré elle,
Georgina est propulsée au coeur de la tourmente. Et pour une fois, ses
sortilèges sexy et sa langue bien pendue ne lui seront d'aucun secours.
Bon c'est sur, la prochaine fois je ferai un petit résumé.
En tout cas j'ai passé un bon moment avec ce livre
Ce que j'en retiens :
le bien et le mal sont dans le même panier, copain comme cochon.
Est-ce à dire que c'est du kif kif ? ou alors le bien peut-être mal et le mal bien ?
Il y a un passage qui dit que la notion de mal dépend du degré de culpabilisation de
la personne qui commet l'acte (genre je trompe ma femme ou mon mari et comme je
ne ressent pas de culpabilité et bien ce n'est pas un péché !!!!!). Ça laisse la porte
ouverte à plein de conneries.